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L’école au temps de la Covid-19
Les écoles sur tout le territoire haïtien ont rouvert leurs portes lundi dernier pour la première fois depuis cinq mois. Les élèves des classes d’examens d’établissements publics et privés regagnent leurs pupitres pour les deux prochains mois en plein cœur de l’été. Deux cas testés positifs à la Covid-19 en mars avaient contraint le gouvernement, en raison du risque sanitaire, a décrété l’état d’urgence sanitaire entrainant l’arrêt des activités scolaires.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
Konstriksyon anachik mete dlo Pòtoprens an danje
Parce qu’elle institue des mesures barrières comme nouvelle norme, notamment le lavage régulier des mains, la pandémie du nouveau Coronavirus exacerbe les précarités de certaines communautés et met à nu l’inefficacité du service public haïtien.
Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haïti
Le lavage systématique des mains en guise de mesure barrière à la pandémie Covid-19, a indubitablement fait tiquer dans les hautes sphères du pouvoir en Haïti. En cause, l’impossibilité des administrations depuis au moins 20 ans à répondre aux besoins en eau potable de la population de l’aire métropolitaine chaque jour grandissante. Dans ce reportage, la journaliste Daphnine Joseph fait le rapport entre le besoin et l’absence de politique environnementale claire depuis des années pour aider la Dinepa, organe étatique responsable de la distribution d’eau potable, à assurer cette fonction. Un dossier pour comprendre.
«Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haiïti »
«Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haiïti »
Apprendre un métier, gagner de l’argent et autres exploits de jeunes Haïtiens pendant la pandémie
Les crises successives ayant éprouvé Haïti ces deux dernières années, qu’elles soient sociopolitiques (Peyi lòk) ou sanitaires (Pandémie du coronavirus), ont fortement pénalisé l’école du pays.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
Durant les longs mois de l’état d’urgence sanitaire, une partie des écoles haïtiennes, celles les mieux loties et équipées, ont pu continuer la formation en ligne pour les enfants de familles aisées. A contrario, une autre partie — constituant la majorité des écoles du pays — a dû faire l’impasse sur la continuité académique par manque de ressources. Portraits de jeunes issus de cette fracture sociale et scolaire. Comment ont-ils su utiliser cette coupure pour acquérir d’autres compétences en autodidacte et promouvoir des initiatives collectives, et ceci, malgré le climat anxiogène de la pandémie.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
Durant les longs mois de l’état d’urgence sanitaire, une partie des écoles haïtiennes, celles les mieux loties et équipées, ont pu continuer la formation en ligne pour les enfants de familles aisées. A contrario, une autre partie — constituant la majorité des écoles du pays — a dû faire l’impasse sur la continuité académique par manque de ressources. Portraits de jeunes issus de cette fracture sociale et scolaire. Comment ont-ils su utiliser cette coupure pour acquérir d’autres compétences en autodidacte et promouvoir des initiatives collectives, et ceci, malgré le climat anxiogène de la pandémie.
L’école au temps de la Covid-19
Les écoles sur tout le territoire haïtien ont rouvert leurs portes lundi dernier pour la première fois depuis cinq mois. Les élèves des classes d’examens d’établissements publics et privés regagnent leurs pupitres pour les deux prochains mois en plein cœur de l’été. Deux cas testés positifs à la Covid-19 en mars avaient contraint le gouvernement, en raison du risque sanitaire, a décrété l’état d’urgence sanitaire entrainant l’arrêt des activités scolaires.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
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Parce qu’elle institue des mesures barrières comme nouvelle norme, notamment le lavage régulier des mains, la pandémie du nouveau Coronavirus exacerbe les précarités de certaines communautés et met à nu l’inefficacité du service public haïtien.
Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haïti
Le lavage systématique des mains en guise de mesure barrière à la pandémie Covid-19, a indubitablement fait tiquer dans les hautes sphères du pouvoir en Haïti. En cause, l’impossibilité des administrations depuis au moins 20 ans à répondre aux besoins en eau potable de la population de l’aire métropolitaine chaque jour grandissante. Dans ce reportage, la journaliste Daphnine Joseph fait le rapport entre le besoin et l’absence de politique environnementale claire depuis des années pour aider la Dinepa, organe étatique responsable de la distribution d’eau potable, à assurer cette fonction. Un dossier pour comprendre.
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Apprendre un métier, gagner de l’argent et autres exploits de jeunes Haïtiens pendant la pandémie
Les crises successives ayant éprouvé Haïti ces deux dernières années, qu’elles soient sociopolitiques (Peyi lòk) ou sanitaires (Pandémie du coronavirus), ont fortement pénalisé l’école du pays.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
Durant les longs mois de l’état d’urgence sanitaire, une partie des écoles haïtiennes, celles les mieux loties et équipées, ont pu continuer la formation en ligne pour les enfants de familles aisées. A contrario, une autre partie — constituant la majorité des écoles du pays — a dû faire l’impasse sur la continuité académique par manque de ressources. Portraits de jeunes issus de cette fracture sociale et scolaire. Comment ont-ils su utiliser cette coupure pour acquérir d’autres compétences en autodidacte et promouvoir des initiatives collectives, et ceci, malgré le climat anxiogène de la pandémie.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
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Les écoles sur tout le territoire haïtien ont rouvert leurs portes lundi dernier pour la première fois depuis cinq mois. Les élèves des classes d’examens d’établissements publics et privés regagnent leurs pupitres pour les deux prochains mois en plein cœur de l’été. Deux cas testés positifs à la Covid-19 en mars avaient contraint le gouvernement, en raison du risque sanitaire, a décrété l’état d’urgence sanitaire entrainant l’arrêt des activités scolaires.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
Konstriksyon anachik mete dlo Pòtoprens an danje
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Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
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Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
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En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
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Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
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Apprendre un métier, gagner de l’argent et autres exploits de jeunes Haïtiens pendant la pandémie
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Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
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En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
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Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haïti
Le lavage systématique des mains en guise de mesure barrière à la pandémie Covid-19, a indubitablement fait tiquer dans les hautes sphères du pouvoir en Haïti. En cause, l’impossibilité des administrations depuis au moins 20 ans à répondre aux besoins en eau potable de la population de l’aire métropolitaine chaque jour grandissante. Dans ce reportage, la journaliste Daphnine Joseph fait le rapport entre le besoin et l’absence de politique environnementale claire depuis des années pour aider la Dinepa, organe étatique responsable de la distribution d’eau potable, à assurer cette fonction. Un dossier pour comprendre.
«Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haiïti »
«Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haiïti »
Apprendre un métier, gagner de l’argent et autres exploits de jeunes Haïtiens pendant la pandémie
Les crises successives ayant éprouvé Haïti ces deux dernières années, qu’elles soient sociopolitiques (Peyi lòk) ou sanitaires (Pandémie du coronavirus), ont fortement pénalisé l’école du pays.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
Durant les longs mois de l’état d’urgence sanitaire, une partie des écoles haïtiennes, celles les mieux loties et équipées, ont pu continuer la formation en ligne pour les enfants de familles aisées. A contrario, une autre partie — constituant la majorité des écoles du pays — a dû faire l’impasse sur la continuité académique par manque de ressources. Portraits de jeunes issus de cette fracture sociale et scolaire. Comment ont-ils su utiliser cette coupure pour acquérir d’autres compétences en autodidacte et promouvoir des initiatives collectives, et ceci, malgré le climat anxiogène de la pandémie.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
Durant les longs mois de l’état d’urgence sanitaire, une partie des écoles haïtiennes, celles les mieux loties et équipées, ont pu continuer la formation en ligne pour les enfants de familles aisées. A contrario, une autre partie — constituant la majorité des écoles du pays — a dû faire l’impasse sur la continuité académique par manque de ressources. Portraits de jeunes issus de cette fracture sociale et scolaire. Comment ont-ils su utiliser cette coupure pour acquérir d’autres compétences en autodidacte et promouvoir des initiatives collectives, et ceci, malgré le climat anxiogène de la pandémie.
L’école au temps de la Covid-19
Les écoles sur tout le territoire haïtien ont rouvert leurs portes lundi dernier pour la première fois depuis cinq mois. Les élèves des classes d’examens d’établissements publics et privés regagnent leurs pupitres pour les deux prochains mois en plein cœur de l’été. Deux cas testés positifs à la Covid-19 en mars avaient contraint le gouvernement, en raison du risque sanitaire, a décrété l’état d’urgence sanitaire entrainant l’arrêt des activités scolaires.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
Konstriksyon anachik mete dlo Pòtoprens an danje
Parce qu’elle institue des mesures barrières comme nouvelle norme, notamment le lavage régulier des mains, la pandémie du nouveau Coronavirus exacerbe les précarités de certaines communautés et met à nu l’inefficacité du service public haïtien.
Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haïti
Le lavage systématique des mains en guise de mesure barrière à la pandémie Covid-19, a indubitablement fait tiquer dans les hautes sphères du pouvoir en Haïti. En cause, l’impossibilité des administrations depuis au moins 20 ans à répondre aux besoins en eau potable de la population de l’aire métropolitaine chaque jour grandissante. Dans ce reportage, la journaliste Daphnine Joseph fait le rapport entre le besoin et l’absence de politique environnementale claire depuis des années pour aider la Dinepa, organe étatique responsable de la distribution d’eau potable, à assurer cette fonction. Un dossier pour comprendre.
«Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haiïti »
«Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haiïti »
Apprendre un métier, gagner de l’argent et autres exploits de jeunes Haïtiens pendant la pandémie
Les crises successives ayant éprouvé Haïti ces deux dernières années, qu’elles soient sociopolitiques (Peyi lòk) ou sanitaires (Pandémie du coronavirus), ont fortement pénalisé l’école du pays.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
Durant les longs mois de l’état d’urgence sanitaire, une partie des écoles haïtiennes, celles les mieux loties et équipées, ont pu continuer la formation en ligne pour les enfants de familles aisées. A contrario, une autre partie — constituant la majorité des écoles du pays — a dû faire l’impasse sur la continuité académique par manque de ressources. Portraits de jeunes issus de cette fracture sociale et scolaire. Comment ont-ils su utiliser cette coupure pour acquérir d’autres compétences en autodidacte et promouvoir des initiatives collectives, et ceci, malgré le climat anxiogène de la pandémie.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
Durant les longs mois de l’état d’urgence sanitaire, une partie des écoles haïtiennes, celles les mieux loties et équipées, ont pu continuer la formation en ligne pour les enfants de familles aisées. A contrario, une autre partie — constituant la majorité des écoles du pays — a dû faire l’impasse sur la continuité académique par manque de ressources. Portraits de jeunes issus de cette fracture sociale et scolaire. Comment ont-ils su utiliser cette coupure pour acquérir d’autres compétences en autodidacte et promouvoir des initiatives collectives, et ceci, malgré le climat anxiogène de la pandémie.
L’école au temps de la Covid-19
Les écoles sur tout le territoire haïtien ont rouvert leurs portes lundi dernier pour la première fois depuis cinq mois. Les élèves des classes d’examens d’établissements publics et privés regagnent leurs pupitres pour les deux prochains mois en plein cœur de l’été. Deux cas testés positifs à la Covid-19 en mars avaient contraint le gouvernement, en raison du risque sanitaire, a décrété l’état d’urgence sanitaire entrainant l’arrêt des activités scolaires.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
En octobre dernier, l’année académique 2019-2020 avait déjà été rognée en raison des mouvements de contestations parfois violentes et le blocage systématique des routes et de certains quartiers. N’ayant finalement débuté qu’en janvier, l’école accuse un nouveau coup avec ces 5 derniers mois de confinement sanitaire.
D’abord ouvertes exclusivement aux élèves présentant les examens officiels, les classes finiront par accueillir tous les niveaux, exceptés le préscolaire, dès le lundi 17 août 2020. Les autorités entendent soumettre la réouverture à un protocole sanitaire bien élaboré que chaque école, en fonction de ses moyens tentera de suivre tant bien que mal.
Konstriksyon anachik mete dlo Pòtoprens an danje
Parce qu’elle institue des mesures barrières comme nouvelle norme, notamment le lavage régulier des mains, la pandémie du nouveau Coronavirus exacerbe les précarités de certaines communautés et met à nu l’inefficacité du service public haïtien.
Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Depuis plus de 20 ans, les administrations successives se sont révélées de moins en moins capables à répondre aux besoins en eau potable des populations urbaines en nette croissance. La Direction nationale de l’Eau potable et de l’Assainissement d’Haïti (Dinepa) a remplacé la Camep, avec une constante : le manque cruel de politique publique pour protéger les bassins versants.
Résultats, urbanisation et pollution des nappes phréatiques, fermeture de sites d’exploitation d’eau. Le rapport entre le besoin en eau potable et la nécessité de politiques environnementales claires pour améliorer la qualité de vie des populations s’illustre à travers le cas pratique de morne Hôpital et de la ville de Port-au-Prince. Un reportage pour comprendre.
Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haïti
Le lavage systématique des mains en guise de mesure barrière à la pandémie Covid-19, a indubitablement fait tiquer dans les hautes sphères du pouvoir en Haïti. En cause, l’impossibilité des administrations depuis au moins 20 ans à répondre aux besoins en eau potable de la population de l’aire métropolitaine chaque jour grandissante. Dans ce reportage, la journaliste Daphnine Joseph fait le rapport entre le besoin et l’absence de politique environnementale claire depuis des années pour aider la Dinepa, organe étatique responsable de la distribution d’eau potable, à assurer cette fonction. Un dossier pour comprendre.
«Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haiïti »
«Comment le lavage des mains indexe les problèmes environnementaux d'Haiïti »
Apprendre un métier, gagner de l’argent et autres exploits de jeunes Haïtiens pendant la pandémie
Les crises successives ayant éprouvé Haïti ces deux dernières années, qu’elles soient sociopolitiques (Peyi lòk) ou sanitaires (Pandémie du coronavirus), ont fortement pénalisé l’école du pays.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
Durant les longs mois de l’état d’urgence sanitaire, une partie des écoles haïtiennes, celles les mieux loties et équipées, ont pu continuer la formation en ligne pour les enfants de familles aisées. A contrario, une autre partie — constituant la majorité des écoles du pays — a dû faire l’impasse sur la continuité académique par manque de ressources. Portraits de jeunes issus de cette fracture sociale et scolaire. Comment ont-ils su utiliser cette coupure pour acquérir d’autres compétences en autodidacte et promouvoir des initiatives collectives, et ceci, malgré le climat anxiogène de la pandémie.
Entre une année académique 2018-2019 grignotée par les contestations et les blocages et la suivante retardée puis stoppée nette par la pandémie du Coronavirus, les écoliers haïtiens se sont déshabitués au rythme scolaire régulier.
Durant les longs mois de l’état d’urgence sanitaire, une partie des écoles haïtiennes, celles les mieux loties et équipées, ont pu continuer la formation en ligne pour les enfants de familles aisées. A contrario, une autre partie — constituant la majorité des écoles du pays — a dû faire l’impasse sur la continuité académique par manque de ressources. Portraits de jeunes issus de cette fracture sociale et scolaire. Comment ont-ils su utiliser cette coupure pour acquérir d’autres compétences en autodidacte et promouvoir des initiatives collectives, et ceci, malgré le climat anxiogène de la pandémie.
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